Olivier Burdeyron, dirigeant d'e-affacturage, répond aux questions des journalistes sur l'affacturage, l'assurance crédit ou plus généralement sur le financement des entreprises.
Option Finance, Juin 2015
[EXTRAITS] De nombreuses sociétés n'ont pas accès à l'affacturage à cause du caractère "atypique" de leurs créances. Mais les factors acceptent de plus en plus souvent de prendre en charge ces dernières...
Les factures atypiques sont celles qui ne sont pas considéres comme "certaines, liquides et exigibles", c'est le cas des acomptes, bons de commande et situations de travaux.
Voir l'article "l'affacturage atypique en voie de normalisation?"
Le nouvel Economiste,
cahier n°2 du 9 au 15 juin 2011
[EXTRAITS] Les préjugés sur l'affacturage disparaissent peu à peu auprès des TPE. Grâce à des offres sur mesure l'affacturage peut répondre précisemment aux demandes des petites entreprises. Extrait de l'article (...) Pour Olivier Burdeyron, la souscription d'un contrat annuel peut être une sécurité précieuse pour une jeune entreprise : “Les contrats annuels garantissent à l'entreprise une source de financement pendant au moins 1 an.” (...)
Le nouvel Economiste,
Cahier 1563, 04/2011
[EXTRAITS] Article sur le recours au reverse factoring ou affacturage inversé. (...) “Pour pouvoir ouvrir ce marché [reverse factoring] à des entreprises de moindre importance, il est nécessaire que les factors abaissent cette ligne à 10 ou 15 millions d'euros pour atteindre ainsi plus de société et notamment les grosses PME” souligne Olivier Burdeyron(...)
Voir l'article Le nouvel economiste, "le recours à l'affacturage inversé"
Le nouvel Economiste,
édition numérique du 12/11/2012
[EXTRAITS] Article du Nouvel Economiste traitant de la différence entre l’affacturage géré et l’affacturage non géré.
Le choix et la possibilité d’être éligible à ces solutions revêt une importance particulière pour les entreprises qui trouvent ainsi une solution souple de financement de trésorerie quand la banque classique rechigne à financement leur BFR.
Voir l'article, Le nouvel economiste, "affacturage géré ou non géré ?"
Le nouvel Economiste,
cahier 1551, cahier n°2 02/2011
[EXTRAITS] Olivier Burdeyron, patron d’e-affacturage. “Le rôle du courtier est de trouver pour son client le meilleur contrat d’affacturage possible. C’est-à-dire celui qui lui correspond le mieux, qui lui est vraiment adapté et qui va lui apporter toute la trésorerie nécessaire sans préjudice”. Lui non plus ne rate pas sa cible: les créateurs d’entreprises représentent globalement 1/3 de ses clients, un autre 1/3 est représenté par des sociétés de 2 à 3 ans d’existence et le dernier 1/3 d’entreprises installées depuis plusieurs années. (...)
Voir l'article Le nouvel economiste, "le factoring à la portée des starts-ups"
Chef d'entreprise Magazine,
n°36, 03/2009
[EXTRAITS] Parmi les points « négociables » dans un contrat d’affacturage, Olivier Burdeyron pointe le mode de calcul des intérêts financiers. Ceux-ci peuvent être précomptés ou postcomptés. Dans le premier cas, le factor procède à une préévaluation des délais de paiement. Si, dans votre secteur, le délai moyen de paiement est de 55 jours, vous paierez pour 55 jours même si la durée effective de l’avance n’a été que de 50 jours. Dans le second cas, le factor répercute des frais réels. Le taux est donc calculé au prorata temporis. « Ces informations figurent dans le contrat, souligne le courtier. A vous de les vérifier ou de faire appel à un conseil afin de décrypter les clauses. » De même, Olivier Burdeyron attire l’attention de ses clients sur l’existence de frais de dossier : « Vous pouvez les réduire, voire les supprimer entièrement. »...
Le Moniteur,
n°5519, 09/2009
[EXTRAITS] Le Moniteur : Est il judicieux de recourir à l'affacturage dans la période de crise actuelle ? Olivier Burdeyron : Le recours à l'affacturage est particulièrement recommandé à 3 moments clés de la vie d'une entreprise : en création, lorsque les banques ont tendance à prêter peu, voire pas du tout; en période de forte croissance, au cours de laquelle les banques accordent des lignes plafonnées, et n'accompagnent donc que très partiellement les sociétés; et enfin lorsque l'entreprise connait un passage à vide, comme ce peut être le cas aujourd'hui; car à la sortie du bilan, les banques suppriment ou réduisent les lignes, et l'entreprise doit trouver des financements ailleurs....
L'Entrepreneur,
n°236, 02/2009
[EXTRAITS] La raison pour laquelle des petites entreprises franchissent le pas s'explique souvent par l'attitude des banques: "Qu'il s'agisse de Dailly, d'escompte ou d'autorisation de découvert, les établissements financiers se sont progressivement retirés du crédit court terme depuis 10 ans, au profit du crédit moyen et long terme", souligne Olivier Burdeyron, d'e-affacturage. (...)
Reverse factoring:
La chute de la société financière GREENSILL : un mauvais procès au reverse factoring ?
Avis d'expert > Reverse factoring
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